Un combat personnel, un engagement de marque

Dans notre rubrique « Endométriose », nous évoquons notre lien avec la cause de l’endométriose. Ce n’est pas un effet de style : c’est une réalité intime, vécue au quotidien.

Comme une femme sur dix, nous avons été directement confrontées à cette maladie.

Chez nous, ce sont toutes les femmes qui en souffrent ou en ont souffert — de la grand-mère à la petite-fille. Une forme de fatalité familiale, silencieuse et pourtant bien réelle.

Aujourd’hui, c’est Sherine, la plus jeune, qui en est la plus atteinte.
Alors nous avons décidé d’en parler. Pour informer, soutenir et sensibiliser.

Une maladie complexe et encore trop peu connue

L’endométriose présente plusieurs degrés, plusieurs visages. C’est ce qui rend son diagnostic si difficile.

Elle commence souvent par de fortes douleurs menstruelles. Mais pendant longtemps, ces douleurs ont été banalisées : “c’est normal”, “c’est dans la tête”, “vous exagérez”.

Et puis, soyons honnêtes, qui a vraiment envie d’écouter une femme parler de ses douleurs pendant ses règles ? C’est encore un sujet intime, trop souvent ignoré.

Un véritable parcours du combattant

L’endométriose, ce n’est pas seulement une affaire de gynécologie. Elle peut aussi toucher l’urologie, la gastro-entérologie, la pneumologie, la médecine de la douleur, voire la nutrition.

Trouver le bon spécialiste au bon moment relève parfois de l’exploit.

Chaque femme vit la maladie différemment.
Chaque corps souffre à sa manière. Et relier tous ces symptômes à une seule et même cause peut prendre des années.

Une maladie connue depuis 1927… mais enseignée seulement depuis 5 ans

Oui, vous avez bien lu. L’endométriose a été identifiée en 1927, mais elle n’est enseignée dans les facultés de médecine que depuis 2018.

Presque un siècle d’errance diagnostique.
Et encore aujourd’hui, beaucoup de praticiens ne sont ni formés, ni informés.

Que faire ? Où se tourner ?

La clé, c’est l’information.
Se renseigner, s’entourer, oser en parler.

Des associations comme  EndoFrance, EndoMind,  ou Info-Endométriose font un travail remarquable pour informer, soutenir et faire avancer la recherche. Elles sont souvent un soutien essentiel pour de nombreuses femmes.

Notre réponse, à notre échelle

À travers BADR – Clair de Lune, nous souhaitons porter cette cause avec bienveillance et engagement.

Nos pyjamas sont conçus pour être confortables, doux, respectueux de la peau et de l’environnement — pensés pour celles qui, comme Sherine, ont besoin de vêtements qui soulagent, qui enveloppent sans contraindre.

Nous ne sommes pas médecins.
Mais à notre façon, avec nos créations et notre voix, nous voulons soutenir, relayer et changer les choses.

Parce qu’une maladie qui touche une femme sur dix mérite bien plus d’attention.
Et que la douceur, c’est aussi une forme de force.

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